Ce samedi matin Cedric (alias Ramses) s’est proposé pour m’accompagner dans une nouvelle reconnaissance du parcours.
Le départ se fait de Botassart, au point de vue du Tombeau du Géant. Un petit problème se pose à nous car c’est le jour de la Bouillonante, célèbre trail dont le départ se situe à Bouillon. le tracé emprunte une grande partie du parcours prévu pour ce matin.
Partant assez tôt on ne devrait pas croiser trop de monde.
Le départ se fait tranquille par une descente, que nous n’emprunterons pas le 8 mai car trop facile. ..
Bientot nous attaquons une montée faite au train, pas de soucis particulier. Arrivés en haut on prend un mauvais chemin et nous nous retrouvons au pied de la côte. Pas grave on recommence. En fait le chemin a prendre se trouve caché par la végétation. Au bout de quelques mètres à travers la jungle on retrouve une trace exploitable. La descente qui suit est technique avec cailloux, ornières. Tout ce qu’il faut pour s »amuser !
On reprend une trace un peu plus roulante pour monter vers Rochehaut. On coupe une partie du parcours qui ne présente pas de difficulté à suivre.
Petite pose a Rochehaut pour profiter du spectacle.
Cette fois ci on attaque une vrai descente avec une première partie très (trop) roulante. Il faudra faire attention de ne pas se laisser griser. Grosse épingle et petit faux plat a flanc de falaise. Dommage on ne peut pas emprunter la seconde partie de la descente qui est beaucoup plus technique car c’est le tracé de la Bouillonante et les trailers sont nombreux. On fini sur le grand chemin.
Arrivée à la passerelle on croise les coureurs. La traversée de Frahan se fait sans problème mais on ne peut emprunter le chemin des crëtes.
On emprunte la route pour regagner Poupehan puis notre point de départ.
Une bonne reco.
Le retour est un peu plus mouvementé car on le fait au pif et franchement je pense que je n’ai pas été bon. On a du franchir un passage à plus de 66%. Je ne vais pas dire qu’on l’a monté sur le spad personne ne croirais. C’est plus du VTT mais de l’escalade. On fini par retrouver un chemin pratiquable. Et nous enchainons la dizaine de kilometres qui restent à un rytme de sénateur tellement la montée de la falaise à fait mal aux mollets.