Ces 2 et 3 octobre, je participais aux 24h de Buthiers (77) en solo. C’était une vieille idée de PTR où j’espérais me déplacer avec quelques Raidars…malheureusement, j’arrivais seul, ce vendredi soir, tel un sanglier solitaire avec sa tente et son panda. (Trop rare pour trouver une image d’illustration)
L’accueil par les membres du club « Esprit Raid » est sympathique. On me montre un emplacement où me jeter pour le week-end. Je trouve deux autres soloistes (Xavier de Poissy et Cyril de Nevers) qui établissent leurs campements respectifs également. La nuit est tombée, j’en profite pour convier mes voisins à un apéritif San Pé/noix de cajou histoire de ne pas compter les heures restantes avant le départ chacun dans notre coin. Nous échangeons à propos de vélo…et ils me disent, surtout, que Buthiers est le plus dur 24h qu’ils connaissent après les Crapauds…. Aïe, ce n’est pas comme ça que je l’avais vu.
La nuit n’est pas la meilleure de l’année mais elle n’est pas si mauvaise que prévu. Il est samedi, il est matin, il fait gris mais sec, il est l’heure de retirer mon dossard numéro 16 et la puce de chronométrage.
Avec mes deux voisins, et parce qu’ils m’ont dépeint un terrain difficile, nous décidons de faire un tour de reconnaissance de ce circuit de 8km et 195m de D+.
Le circuit : (Je le décris en détails en fin de page pour ceux qui veulent savoir) Mais c’est une folie. On l’aimerait en mode rando car il est très technique, joueur, tout en relances. Il me fait penser à ce que l’on m’a décrit de « l’hivernale de Larchant ». (Les deux sites sont voisins à 15 km…)
On enchaine donc rapidement sur le briefing où l’on nous annonce un nombre de participant malheureusement très bas (plus que 80 au départ contre 133 inscrits validés encore la veille et contre 450 pré inscrits quelques semaines avant). On parle d’une météo exécrable (certainement facteur d’abandon de beaucoup des inscrits). On parle d’un départ dans 15 minutes 😱.
14h pétantes, le groupe s’élance sur la deuxième moitié du parcours afin de déclencher les
puces. (Le cardio et les cuisses aussi)
Une fois n’est pas coutume, je pars certainement trop vite. Je sais que j’ai 24h pour me calmer… autant prendre du plaisir sur les premières longueurs. Très en formes, nous sommes 5 solos à passer le portique des places 7 à 11….. Je vais rester avec Carlito (ou devant lui à certains moments) pendant 8 tours, soit 4h30. Une première pause s’impose pour remplir la gourdasse, le camelbak et pour manger un morceau. Il y a 57km de passés. Je regarde rapidement mon téléphone et je vois déjà beaucoup de messages sur les réseaux sociaux ainsi que par sms. Ça donne du baume au cœur pour se remettre en selle. J’essaye de manger un peu. Je me suis préparé des Wraps avec fromage frais, avocat, émincés de poulet et graines de sésame, qui avaient bien fonctionnés sur Olhain en 2019 et à #movembertrailtraversee…. Beh là, ça ne passe pas. J’ai besoin de manger et ça ne rentre pas.
Il est temps de reprendre les chemins. J’équipe mon casque avec mon éclairage ainsi que mon cintre. Ainsi, lorsque la nuit va tomber, je ne serais pas obligé de refaire une pause technique. J’enchaine donc les tours en sachant que j’ai laissé la seconde place (rien de grave, je n’avais pas prévu d’être dans le top 10….) mais avec quelques idées en têtes. D’abord, je ne sais pas comment je vais me nourrir… j’ai tout basé sur mes wraps. Si je suis 3ème, c’est que Moustic of Zifouns, l’un des favoris, a dû abandonner. Je lève un peu le pied, et je me dis que l’on va essayer de tenir la nuit.
Il pleut, le terrain sablonneux draine plutôt bien la pluie mais le vent est très fort et fait craquer toute la forêt. Je suis mouillé des dauilles à la pointe des cheveux mais le circuit est tellement technique que nous n’avons pas le temps de sentir le vent frais en descente…nous ne sommes que sueur et la chaleur est bien contenue dans nos vêtements collants d’humidité. (Ca sent le cochon sauvage dans les sentiers de Buthiers….)
Un feu d’artifice éclate au loin et on en sent l’odeur dans les bois. Ça permet de laisser nos pensées se promener autre part que sur la mono-trace que l’on suit depuis déjà plus de 7h. Sur un plat sinueux de la première partie de circuit, je saisis ma gourde et me vautre comme une vraie tanche morte sur le bord du chemin. Je comprends que ma lucidité est en train de lâcher. (Ça parait clair maintenant, mais je n’avais pas vu les signes avant cette chute). Il est donc temps de s’arrêter.
Il est presque 22h et 89 km quand j’arrive à ma tente. J’échange avec mon voisin Cyril qui est dans le mal. Je lui dis que je lute pour ne pas me coucher définitivement et voir si je me réveille demain matin pour continuer. Il me dit « moi je vais essayer de ne pas dormir. Ce serait dommage parce que tout se joue la nuit. » J’échange quelques messages avec Amour en lui disant que je suis déjà au bout de ma vie et que je dois faire une longue pause. Ce break va durer environ 40 minutes (presque la durée d’un tour), je suis au bout de ma vie. Je repars donc grâce aux bons mots de Cyril, de Karine et grâce aux quelques messages que j’ai parcourus sur mon téléphone. A partir de ce moment, je vais me raccrocher à tout ce que je peux pour tenir.
Et là, à ce moment précis, toutes les (vos) petites attentions deviennent importantes.
Des bénévoles qui font la circulation après le passage très technique dans les rochers et qui t’encouragent depuis le début et à chaque tour, c’est de l’or. Le photographe que tu croises encore dans les bois et que tu laisses un « courage » depuis des heures et à chaque passage, c’est de l’or. A la fin de chaque tour, après la tente de chronométrage, il y a un poste de ravitaillement avancé pour une équipe et ils me souhaitent bon courage et me félicitent pour ce que je fais à chaque tour, c’est de l’or (en tapant ce résumé, je reçois une notification sur Strava, il s’appelle Nicolas de Pontault-Combault). Tout ça me fait tenir jusque 1h50 et 121 km, déjà 2830m de D+. Pendant cette pause, c’est compliqué. Que manger ?! J’opte pour un menu varié composé de Tucs aux graines de sésame, pain d’épices, noix de cajous, abricots secs et coca-cola…. Ouais…je prend un peu de tout ce que j’ai. En sortant de la piste, j’ai vu que j’étais 5ème, c’est une place qui me plait bien et qui est complètement dans mon objectif rêvé et inavoué de Top 10.
Je reprends donc mon Panda après 20/30 minutes de repos et je ne suis pas en grande forme. J’en profite pour mettre des chaussettes sèches, archi sèches dans mes chaussures pas sèches. Je garde mon cuissard trempé mais je remets un maillot et une veste et des gants hiver secs. Tel un robot, je tourne les pédales en mode automatique…. Je guide la roue avant entre les obstacles et ma position sur le vélo … hey beh… je n’en sais rien en fait, je ne sais plus, ça se fait tout seul. Les montées sont des calvaires où je pousse ; les plats sinueux sont compliqués car je commence à prendre de mauvaises trajectoires et me créer mes propres pièges, bref, ça ne sent pas bon. En parlant d’odeur, la forêt et la nuit s’anime un peu. Un bruit sur ma droite, une odeur de sanglier, et un concurrent qui me précède fait tinter sa sonnette pour faire fuir les bestiaux. (Ha ha ! Je pense que le bruit est celui de quartaniers se gaussant et roulant par terre en entendant la sonnette). Sur la plaine de la seconde partie du parcours, deux belles paires de… de yeux et de grandes pattes brillent dans mes lumières en lisière de forêt. (les autres paires ne brillent pas tant que ça la nuit).
Les tours s’enchainent et j’attend le jour avec impatience. Dans quelques trouées donnant vers le village de Buthiers, on voit quelques lueurs essayant de percer au loin. Mais il fait encore nuit lorsque que je m’arrête à 6h10 et 153 km.
Abricots secs, tucs, fin de coca, chocolat noir et noix de cajou trouvent place dans mon estomac vide. (je crois avoir entendu un plouf après avoir avalé une noix de cajou….). Les gels anti-oxydants pris toutes les heures me dévorent le palais et la boisson énergisante de ma gourde n’aide pas à l’apaiser. Seul mon mélange habituel eau plate/san pélégrino dans le camel semble me faire du bien. A tout ceci s’ajoute, bien évidemment, les douleurs. Certaines sont gérables (comme le dos, la nuque, les cuisses) mais certaines deviennent insoutenables et dangereuses. Depuis quelques heures, j’ai énormément mal aux poignets. Je profite donc de cette halte pour me strapper les poignets avec de l’élastoplast bien serré en essayant de les bloquer en position tendue. La douleur est telle que j’ai du mal à tenir le cintre dans les parties techniques et ça commence à être compliqué à jouer avec les vitesses. Ceci étant, je suis surpris d’avoir remarqué que j’avais récupéré la 3ème place et que le 4ème a 3 tours de retard. Des ronflements retentissent dans la tente de mon voisin… je n’aurai pas de soutien de sa part sur ce moment-là, dommage mais j’ai toujours autant de nouveaux messages sur mon téléphone.
Et c’est reparti pour un tour. Enfin, plusieurs tours qui nous portent jusque 9h15 environ. Je vais faire une pause technique vestimentaire en décidant de changer le tout pour les dernières heures. Chaussures sèches, chaussettes, cuissard, maillot, veste à quoi j’ajoute ma veste pluie pour luter contre la météo catastrophique. Des tonneaux d’eau s’abattent sur nous. Le terrain ne draine plus grand-chose. Le sable et la boue ne s’accrochent plus aux vêtements mais la transmission ramasse plus qu’elle n’en voudrait. Les tours galères sont là. Je n’ai pas de jus, j’ai mal. Les encouragements des bénévoles, pourtant en forme en ce début de matinée du dimanche, ne suffisent plus à porter mon Panda en haut des côtes. Je vois Bruce, le 4ème, me doubler sans que je puisse en remettre sur les pédales. (1 tour de moins d’avance sur les trois que je comptais jusque là). Dans une montée, Carlito me passe et on en profite pour échanger un peu. Il est impressionnant par son rythme. Il me dit qu’il chasse Paulo qui tient la première place mais qu’il n’arrive pas à le rattraper. Lui souhaitant une bonne fin de course et lui disant qu’il ne faut pas lâcher, je le laisse partir devant alors qu’il me lance : « Je ne vais rien lâcher. Je vais la gagner celle là. Bon courage. ».
Je me traine jusque 11h30 où je décide que ce sera la fin pour moi. On n’a pas tous le même mental… J’ai vu que la 4ème place serait acquise, quoiqu’il arrive, et je pense que mon poursuivant n’est pas loin d’avoir repris un des deux tours de retard qu’il comptait encore. Je sors donc du circuit et je passe devant le tableau d’affichage. Encore 3ème ! Inouï ! Comment est ce possible ?! Je vais jusque ma tente, descends du vélo, regarde mon voisin Cyril qui est face à moi. Je lui demande s’il dépose les armes. Il me répond que non ; qu’il fait une pause et se relancera pour un dernier tour.
Je m’effondre. Plus rien ne tient. J’ai des difficultés à marcher. J’ai le moral dans les pieds… que je ne sens plus. J’ai les larmes aux yeux tellement les émotions me lâchent également. Je lui dis que ma décision était d’arrêter mais que le classement m’indique que j’ai encore ma place sur le podium. Alors il me dit : « Cyril, une troisième place sur les 24h de Buthiers, ça se défend ! Tu n’as juste qu’à tourner encore ! Tant que tu roules, c’est du temps qu’il ne te reprend pas et il ne pique pas ta place ». Je change donc ma gourde, mange 2 tucs et le reste des noix de cajou. Je prend le paquet d’abricots que je mets dans une poche et en avant Guingamp, je repars pour 2 tours (ça devrait suffire). J’ai un léger regain de semblant d’espèce de forme…j’essaye de monter tous les obstacles sur le Panda pour ne pas perdre trop de temps sur ces efforts. Les encouragements redeviennent de l’or en barre et de la taurine. J’ai en tête le post facebook de Laurent qui indique que je dois gérer mon tour d’avance. En tête, je me dis que ce serait bien de faire comme Catherine à Cergy et d’ainsi mettre le maillot du Raid sur le podium d’un 24h solo une nouvelle fois. Alors je tiens ces deux vacheries de tours. Mon dernier passage devant la tente de chronométrage puis devant Nicolas qui est là, décidément jusqu’au bout. Je lui indique que c’est terminé pour moi puis je sors du circuit devant le tableau d’affichage.
Je suis heureux, j’ai encore ces deux tours d’avance et il ne reste que 45 minutes de course, c’est bon….. Ah ! Peut être pas ! Oh bordel ! C’est peut être pas bon ! Si Bruce termine son tour dans les 5 minutes qui arrivent et qu’il boucle un tour express en 40 minutes (temps que nous faisions au départ et qui est possible encore avec l’adrénaline et la rage nécessaire), il peut me sucrer ma place à 2 minutes prêt. Je ne suis plus à ça prêt. Je lance mes jambes, mon corps douloureux et mon Panda dans un dernier élan.
Je réussirai donc à boucler ce 28ème tour qui me donnera l’avance nécessaire pour garder ma troisième place pour ces 24h VTT de Buthiers 2021. 216km et 5000m de D+ au compteur. Temps de déplacement de 21h38 sur 24h11 de course. J’ai bu 16 litres de liquide. 0 minutes de sommeil (je ne compte pas les absences sur le vélo). Le RAID Ardennes VTT est sur le podium d’un 24H VTT solo. Buthiers en solo est la plus dure épreuve sportive que j’ai pu rencontrer et mes limites ont été complètement dépassées grâce à VOUS TOUS qui m’avez suivi et soutenu tout au long de ces 24h de fou. MILLE MERCI à TOUS car sans vous je n’aurai pas pu réaliser tout ça.
Maintenant que c’est terminé, place au podium puis au démontage du campement. Il est évident que nous prenons le temps, avec mon voisin Cyril Gay à qui je dois également beaucoup sur cette épreuve d’échanger une bonne bière de récup (Chimay pour lui, Cuvée d’Arthur triple pour votre serviteur). En partant, je profite pour faire un petit salut et renouveler mes remerciements aux 40 bénévoles relancés en mode démontage pour les remercier pour tout.
Bilan santé d’après course : Courbatures logiques aux jambes, avant-bras, dos, nuque, mains, fesses. Insensibilité aux orteils et aux mains. Palais irrité, fesses et joyeuses également… Impossible de serrer la main gauche. Fatigue…
Le circuit en détails pour ceux qui le veulent :
On part sur un plat entre des rochers pour plonger dans une crevasse technique, composée de rochers et racines, où la faute ferait beaucoup de dégâts physiques. Tu diriges la roue avant entre les obstacles en restant sur l’arrière du vélo puis tu jettes le vélo vers le haut d’une double marche pour monter un obstacle. On remonte en « escaladant » un rocher ; avec de la vitesse, on réussit à monter le vélo par un bon coup de reins et en jetant le cintre vers l’avant. De nouveaux virages nous amènent sur une descente extra technique pour lequel il faut choisir ta position de pédalier et bien jauger tes freinages pour éviter les rochers, passer entre d’autres rochers sans raccrocher le pédalier, les pédales et surtout le dérailleur. Le tout en évitant de passer par-dessus le vélo…. Un léger plat sinueux t’amène sur la première réelle montée dans les racines puis dans le sable qui débouche sur la seconde montée qui serpente longuement dans le sable. S’en suit du faux plat et un virage droite à 110 degrés. Ça donne un peu d’élan pour grimper une nouvelle fois dans les racines. Jusqu’ici et ensuite, tout est en single. Quelques relances plus loin, tu évites les racines dans deux semblants de descentes avant de monter tout doucement vers les hauteurs. Là, enfin, une longue montée non-technique qui permet de souffler, changer de position sur le vélo, détendre les jambes.
Quelques trouées dans la forêt permettent, ensuite, de prendre du vent dans la tronche et de belles rasades de pluie mais c’est le moment d’y prendre un gel ou une barre de figue sans risquer de tomber de vélo. Aussitôt, on reprend par un enchainement très ludique de descentes, virages, relances, jump, puis une toute dernière montée… histoire de terminer la première montée du parcours…. Cette partie se termine par une descente agréable entre les rochers et un plat où tu te dois de rester concentré pour ne pas aller à la faute (nombreux sont les pièges).
La seconde partie démarre fort. Après avoir évité un rocher en virage à 90, tu te tapes deux petites grimpettes cardio avant de descendre du vélo et de le placer sur l’épaule. Là, tu monte des escaliers jusqu’à deux « marche » de 60/70 cm environ chacune en haut desquelles est positionnée une corde dans le cas où ça deviendrait trop périlleux……… Maintenant que tes cuisses et ton cardio sont bien au taquet, tu peux t’attaquer à la plus grosse montée du parcours. Un pétard qui te met dans le rouge sur environ 150m. Arrivé en haut, tu peux souffler et récupérer un peu sur du faux plat montant en ayant une nouvelle fenêtre de tir pour t’alimenter et t’abreuver. Tu passes une bordure de champ très roulante puis tu rentres dans les bois pour enchainer de nouveaux virages dans les arbres. Une descente qui termine dans les racines et la boue (surtout en fin de courses) avant de virer à gauche et passer un petit tronc d’arbre couché au sol. Un plat, puis virage à 90 droite pour tomber dans l’pentu. On serpente dans les bosquets, on arrive à une pierre plate où tu changes déjà tes vitesses pour déclencher une pédale et passer entre des rochers et ne pas détruire ta transmission en passant (il y a des traces sur le caillou…. Des bourrins ces VTTistes). La vraie dernière difficulté arrive. Gauche, gauche, droite, monte sur un coussin de mousse et d’épines avec l’impression de pédaler dans la choucroute puis une rigole montante pleine de sable et de cailloux t’invite à descendre du vélo ou a te mettre dans le rouge écarlate. Je prends, après seulement quelques tours, la décision de monter à pied pour ne pas tout laisser dans cette bataille. Au fur et à mesure des tours, je verrais d’autres participants de tous niveaux utiliser la même technique. Après cette petite formalité, ce n’est presque plus que du bonheur composé d’une montée au train en mode récup, de plats sinueux en relances pour trouver du plaisir, et une descente dans le sable et les racines pour passer la tente de chronométrage. Enfin, quelques passages de rochers ludiques t’amènent jusqu’au point de relais/arrivée/sortie paddock pour finaliser ton tour de 8 km et 195 m de D+.
Respect Mooonsieur !!! Graaaand respect !!!
Truc de dingue… super récit !
Encore bravo mon pote!
Respect Mooooonsieur !
Que dire d’autre …..
Graaaand respect
Super récit ! Et encore super course dans laquelle tu n’as rien lâché ! A une prochaine course
Encore merci à toi surtout. Au plaisir
Purée tu m’as donné envie…….vivement ST REMI !
Envie d’avoir mal ?… Nous sommes tous dingues par ici….
Mais quel récit !!! Mais quel exploit !!! Je suis fasciné par ton courage, ta résilience et ton abnégation !!! Tu m’impressionnes vraiment mon Cyril !!! Félicitations !!!!
Merci mon Jojo. Je puise aussi mon énergie dans tes entreprises, et je ressent toute l’intensité de tes encouragements de trailer.
Beau récit comme dab, et chapeau bas pour ton courage tu n’as pas lâcher
Merci Cacal. Dommage que tu n’aies pu prendre part à la course. Je t’avoue qu’un soutien complémentaire aurais été sympathique.
La « Magie » de FB fait ressortir des dossiers qui, de lien, en lien, m’ont amené sur cette page. Avec « un peu » de retard, félicitations pour ton Podium, ainsi que pour ton abnégation. Chapeau bas. Le Nicolas de Pontault, qui t’a encouragé durant toute la course, c’était mon neveu, qui m’assistait sur l’épreuve. Au plaisir de se retrouver. Paulo De Sousa (Paulo Black Portos).
Sacrée machine le Paulo. Je vois la différence de préparation au quotidien. Je ne suis pas prêt de te piquer une place sur le podium (parce que tu vas craquer et reprendre les 24h……ça ne peut pas être un adieu entre vous.)
Au plaisir de regarder, de loin, ta roue arrière