Notre rendez-vous annuel avec Olivier venu spécialement pour cette randonnée de la capitale des sacres.
Comme convenu nous nous retrouvons sur le parking du gymnase. Procédons au inscriptions. J’ai le numéro 31. Peu de monde. Si ce n’est les pompiers pour un concurrent qui au moment de l’inscription a fait une crise d’épilepsie, peut-être le montant du droit d’engagement…
C’est la troisième fois que nous faisons cette rando avec Olivier. La première année il avait explosé son dérailleur, l’an dernier il avait crevé deux fois. Que nous pépare-t-il pour cette année ?
Jean-Pierre arrive avec Maxime et Clément. On fini de se préparer et on prend la route. Le départ est le même que l’an dernier la longue montée vers Aiglemont. Le dénivelé n’est pas terrible. Ca se passe sans problème. On equille les singles un superbe passage tout en pilotage. C’est le pied. On arrivé à Neufmanil. Il va falloir remonter. Quelques beau passages encore avec une remontée de la Goutelle. Un peu fraîche mais pas de soucis. C’est l’occasion de faire quelques photos. (Voir la galerie) Une belle montée se présente a nous juste avant la séparation entre les parcours entre 30 et 40kms. Maxime hésite et fini par se décider pour faire le 40 avec Olivier et moi. JP part avec Clément pour finir le 30. Rendez-vous donné à la buvette.
Du roulant, du roulant et encore du roulant. Ca commence à devenir lassant d’enquiller les kilomètres à plus de 25km/h. Jusqu’au moment ou nous entrons dans un bois qu’il me semble reconnaître… Eh oui je suis déjà venu plusieurs fois. Nous sommes au dessus de Hautes-Rivières. Je connais le parcours de l’enduro. J’entraîne Maxime dans mon délire et nous décidons de partir freeride en quittant le balisage. Olivier plus sage nous dit qu’on se retrouve en bas. C’est parti on lache les chevaux. Un quart d’heure de pur bonheur. Des racines, des rochers, des marches, des lacets, rien ne manque à notre plaisir. On arrivé en bas une banane jusqu’aux oreilles. Petit souci on est juste perdu. Pas complètement. Je sais où on est mais ignore totalement où on doit aller. Je sors mon téléphone de mon sac. Allo Olivier t’es où ? Après quelques explications nous retrouvons notre route. Mais un seul problème demeure nous sommes au niveau de la Semoy et devons remonter 8kms pour regagner Gespunsart qui se trouve de l’autre coté de la bosse.
On y va au train. Maxime a du mal. Ca devient chaud ! Après avoir mangé mes réserves de gel énergétique ça va un peu mieux. On fini par basculer. Une grande descente pour retourner vers Gespunsart. Mais comme ils sont joueurs les organisateurs nous ont concocté un grand tour du village entre coupé de beaux coups de cul qui font mal aux pattes avant de rentrer. Olivier jette l’éponge il rentre par la route. Avec Maxime nous jouons la partition jusqu’au boulot.
On fini par rentrer. JP nous attend depuis 1 heure.
Bravo Olivier rien de cassé cette année. Une bien belle rando sans soucis avec des vrais morceaux de plaisir dedans.
Ah oui j’oubliais au moment de partir Olivier s’aperçoit qu’il avait oublié les feux sur la voiture plus de batterie. Il faut le pousser pour démarrer. QUEL BOULET !!!
Sans rancune Olivier et à l’an prochain pour de nouvelles aventures.